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MB est opéré d’un syndrome du canal carpien gauche par un premier chirurgien, au privé. Ses douleurs nocturnes disparaissent, mais il continue d’avoir les doigts engourdis, et manque de force et de dextérité manuelle.
Il consulte alors un second médecin spécialiste, qui décide de réopérer. Mr MB subit alors une seconde décompression du canal carpien, quelques mois après la première. Ses symptômes ne s’améliorent pas.
Il consulte alors un troisième spécialiste, qui procède à une troisième décompression du canal carpien. Encore une fois, c’est une déception pour MB, car il conserve les doigts engourdis et manque toujours de force et d’endurance, malgré trois opérations.
LD est diabétique et a subi une décompression ouverte du canal carpien droit à une autre clinique et devait subir la même chirurgie à l’autre main, six semaines plus tard. Malheureusement, il développe une infection de plaie et a de la difficulté à avoir un suivi médical adéquat. Après cette expérience, LD ne voulait plus avoir une décompression ouverte du canal carpien.
Il décide donc de consulter Exception MD pour son autre main. Lors de sa consultation, le diagnostic d’infection de plaie à la main droite est confirmé et LD est mis sous antibiotiques. Quelques semaines plus tard, après guérison de son infection, il est opéré de son second canal carpien par endoscopie pour lequel il en sera complètement rétabli.
ST consulte un chirurgien orthopédiste dans une clinique médicale privée de la région de Montréal pour un syndrome du canal carpien. Celui-ci examine rapidement le poignet du patient et regarde le résultat de son EMG, avant de confirmer qu’une chirurgie est requise. La consultation dure une dizaine de minutes.
Le jour de la chirurgie, il est informé qu’il sera opéré par un autre médecin, car son chirurgien ne travaille plus à la clinique. Celle-ci n’examine et n’interroge pas le patient sur ses symptômes et procède directement à la chirurgie à ciel ouvert au canal carpien droit, dans des conditions de stérilité très basiques, ce qui étonne ST. ST décrit avoir ressenti une décharge électrique durant l’intervention, mais sa chirurgienne le rassure que tout est normal. Il quitte la clinique avec un rendez-vous de suivi prévu avec une infirmière une dizaine de jours plus tard.
Lors de son rendez-vous de suivi postopératoire, ST informe l’infirmière qui lui enlève les points, que ses symptômes se sont aggravés. Il a davantage de douleur et de décharges électriques. L’infirmière lui assure que ceux-ci vont s’améliorer. Sa chirurgienne n’est pas sur place et ne peut donc pas évaluer la condition de ST.
Quelques semaines plus tard, sa situation s’aggrave, et il appelle la clinique pour revoir le médecin. Impossible, le médecin n’est pas disponible. Il décide donc de consulter chez Exception MD. Son évaluation initiale dure 45 minutes et révèle que le canal carpien droit est encore bloqué, et les tests électriques démontrent que l’état de son nerf médian au poignet droit s’est détérioré. De plus, un examen complet de son membre supérieur gauche démontre un syndrome du canal carpien et une compression du même nerf, plus haut au niveau du coude. Le phénomène de double compression du nerf (comme un tuyau d’arrosage dans le jardin est rarement bloqué à un seul endroit) est très fréquent et doit être recherché pour obtenir les meilleurs résultats.
ST est alors opéré pour une reprise par endoscopie du canal carpien droit, une décompression endoscopique du canal carpien gauche ainsi qu’une décompression du lacertus gauche (au coude), en une seule séance, sous anesthésie locale de type Walant (sans garrot sur le bras). Il est ravi du résultat et regrette d’avoir subi la première chirurgie ailleurs. Lorsque nous lui avons demandé comment il avait choisi la première clinique, sa réponse :
PT, aime s’entraîner et consulte chez Exception MD pour un syndrome du canal carpien des deux poignets. La consultation dure 45 minutes et permet de confirmer la présence d’un syndrome du canal carpien, mais PT apprend qu’il souffre d’un syndrome du lacertus bilatéral, c’est-à-dire d’une compression du nerf médian au niveau du coude, sous un ligament appelé lacertus fibrosus. C’est pour cette raison qu’il manque de force et d’endurance. PT n’est pas convaincu de la nécessité de décomprimer le nerf au coude et choisit de faire décomprimer ses canaux carpiens, par endoscopie. Il est opéré et est soulagé des engourdissements et douleurs nocturnes, typiques du syndrome du canal carpien.
Dans les mois suivants, il consulte à nouveau en raison de quelques engourdissements résiduels, de la perte de force et de dextérité. La nouvelle évaluation confirme que les canaux carpiens ont été soulagés adéquatement, mais que la compression du nerf médian au coude persiste aux deux bras. Convaincu finalement, il choisit de subir une décompression nerveuse aux deux coudes simultanément, sous anesthésie locale sans garrot (Walant). Il est ravi de récupérer rapidement sa force et son endurance. Il n’a enfin plus d’engourdissements.
AT est travailleur dans le domaine de construction, à force de travailler durement depuis le plus jeune âge, il sent que ses bras le lâchent. Il ressent des engourdissements et de la douleur dans les avant-bras et les coudes. Il ne dort plus, malgré ses orthèses. Il n’est plus capable de travailler. Il décide que sa santé est essentielle, décide de différer certains autres achats et décide de consulter chez Exception MD, sur la recommandation d’autres personnes. Verdict : double compression du nerf médian au poignet et au coude.
Il est opéré du bras droit, puis une semaine plus tard, du gauche. Lors de sa seconde chirurgie, il nous parle de la récupération de son bras droit.
FC est un responsable de la paie, une épouse et une mère. Elle est très occupée, mais elle aime aussi avoir du temps pour s'adonner à ses loisirs. Au cours des deux dernières années, elle a souffert de douleurs et d'engourdissements constants dans les deux mains. Elle est allée voir son médecin généraliste qui l'a diagnostiqué avec un diagnostic de canal carpien bilatéral sévère, ce qui lui a permis d'être priorisée sur la liste d'attente de l'hôpital. Le délai prévu : 2 ans.
Ses symptômes ont continué de s'aggraver, ce qui affectait grandement son sommeil, son humeur et sa capacité à être émotionnellement disponible pour ses proches. C'est alors qu'elle a décidé de prendre les choses en main.
Elle a donc commencé à faire ses recherches et est tombée sur Exception MD qu'elle a choisi pour la qualité des vidéos informatives accessibles sur le site web, pour l'approche minimalement invasive mise en avant et pour l'approche centrée sur le client qui lui a permis d'obtenir une intervention chirurgicale dans les 2 semaines suivant sa consultation initiale.
Après un examen rigoureux, le Dr Brutus détermine qu'elle doit être opérée pour une double compression du nerf médian des deux côtés (tunnel carpien et syndrome de Lacertus). Le lendemain de l'opération du premier côté, elle a eu une nuit de sommeil entière sans perturbation, ce qu'elle n'avait pas eu depuis deux ans. Elle n'en revenait pas. Après sa deuxième opération, ses symptômes ont disparu et sa force est revenue.
CC s’est fait opérer pour une compression des tunnels carpiens aux deux mains il y a quelques années par un autre chirurgien. Ses symptômes ont complètement disparu après la chirurgie.
Quelques années plus tard, elle recommence à avoir des douleurs neuropathiques, mais ils sont différents de ceux qu’elle avait auparavant. Elle n’avait pas de douleur la nuit et les engourdissements et élancements qu’elle avait remontaient dans les avant-bras. Elle avait également une perte de force et était très maladroite des deux mains. Elle est alors allée consulter son médecin de famille qui lui a prescrit un EMG.
Avec les résultats de l’EMG passés au niveau des poignets, le médecin recommande alors une chirurgie de décompression des 2 tunnels carpiens à nouveau. Découragée et incertaine, la patiente consulte chez Exception MD. En prenant le temps d’écouter ses plaintes et en évaluant de manière rigoureuse les 2 membres supérieurs, Dr Brutus diagnostique CC avec un Syndrome du Lacertus aux 2 bras, alors que les tests provocateurs pour le tunnel carpien sont bels et biens négatifs, suggérant que les décompressions antérieures étaient réussies.
Le syndrome du Lacertus est en fait une compression du même nerf que celui qui est comprimé par le tunnel carpien, mais il est comprimé plus haut, au niveau du coude. CC décide alors d’aller de l’avant avec la chirurgie de décompression du Lacertus aux deux coudes. Durant l’opération d’une trentaine de minutes, Dr Brutus est en mesure de tester et de percevoir le retour de la force active aux deux mains de CC.
Dix minutes après l’opération, CC est assise dans le bureau pour qu’on puisse réévaluer objectivement sa force immédiatement en postopératoire dont voici l’amélioration calculée : une augmentation de 29% à la main droite et de 60% à la main gauche alors qu’elle est encore sous l’effet de l’anesthésie locale. Non seulement cela, mais CC nous rapporte que les sensations d’engourdissements sont déjà diminuées et les sensations d’élancement ont déjà disparu.
ID souffrait depuis quelques mois d’une dégradation rapide de la force, et de la dextérité de sa main droite, au point de ne plus pouvoir ouvrir une bouteille d’eau. Son médecin de famille n’arrivait pas à la faire voir rapidement par un spécialiste des nerfs périphériques. Elle a décidé de consulter chez Exception MD et en une heure le diagnostic était posé : double compression sévère du nerf cubital au poignet et au coude.
Une semaine plus tard, ID était opérée sous anesthésie locale de type Walant (sans garrot) et sa récupération commençait. Lors de sa visite postopératoire, après guérison de sa plaie, elle est capable d’ouvrir une bouteille, sa force s’améliore et sa musculature récupère. Elle est soulagée d’avoir pu sauver sa main avant qu’il ne soit trop tard.
PS, infirmière, souffre de douleurs au coude depuis des mois. Elle manque de force et laisse tomber des objets. Elle consulte et le diagnostic tombe. Compression du nerf cubital et du nerf médian au coude, connus sous le nom de syndrome du lacertus et du tunnel cubital. Elle est opérée rapidement sous Walant.
3. AF joueur de Basket-Balls, ne pouvait plus jouer en raison de douleurs et d’engourdissements dans le petit doigt de la main droite. Il était dérangé pour dribler parce qu’il manquait de dextérité et de contrôle. Son problème était lié à une compression du nerf cubital dans le poignet.
Une fois opéré, sa dextérité et sa force sont revenues presque instantanément. Son témoignage vaut mille mots.
NU est chirurgien et s’est blessé au pouce en faisant du ski. Il n’est plus capable d’opérer et est inquiet pour sa carrière. Il consulte deux collègues dans son hôpital, qui ne se sentent pas à l’aise de l’opérer et le réfèrent au Dr Brutus, qui opère régulièrement des médecins. Il consulte chez Exception MD.
Des radiographies digitales et une échographie réalisée sur place confirment qu’un ligament important est déchiré dans le pouce du jeune chirurgien. Quelques jours plus tard, NU est opéré.
Voici une vidéo à trois semaines postopératoires, alors que la rééducation commence.
Quelques semaines plus tard, il recommence à opérer ses patients et retrouve sa vie normale.
PT est chirurgien-oncologue et souffre d’une arthrose de la base du pouce, dont la douleur résiste aux infiltrations de cortisone. Il a essayé le PRP, mais dans son cas, sans succès. Il se résout à une chirurgie, car il est inquiet de ne plus pouvoir tenir une pince ou un instrument pour opérer. Il n’est pas encore prêt à être obligé de prendre sa retraite en raison de sa main.
Il consulte le Dr Brutus, car il sait qu’il opère de nombreux médecins et chirurgiens. Bonne nouvelle, sa condition rend possible un remplacement articulaire par une prothèse totale de type Maia.
La chirurgie a lieu à un moment qui convient à PT, sous anesthésie locale de type Walant (pas de garrot). PT regarde sa chirurgie et peut même y participer. Grâce à l'anesthésie locale, nous avons pu vérifier la stabilité du remplacement articulaire en mouvement actif pendant l'opération, ce qui permet à PT de commencer la rééducation plus tôt, et donc de récupérer ses capacités et sa qualité de vie plus vite.
Effectivement, une semaine après le remplacement de son articulation, la rééducation commence. Une semaine après son remplacement, la rééducation commence. Huit semaines plus tard, PT est de retour en salle d’opération et à sa vie.
RP souffre d’une contracture de deux doigts de la main. Il sait que cette affection est familiale dans son cas. Musicien, il a très peur de ne pas pouvoir continuer de fabriquer et de jouer de ses instruments de musique. LP est non seulement un artiste, mais aussi un fabricant d’instruments à cordes. Pour cette raison, il choisit le Dr Brutus en raison de son expertise unique.
La chirurgie se déroule parfaitement sous anesthésie locale. Le Dr Brutus lui prescrit de la radiothérapie en postopératoire pour réduire le risque de récidive de la maladie après la chirurgie.
FF est diabétique, et est donc sujet aux doigts à gâchette. Parce que le diabète ralentit la cicatrisation et augmente le risque d’infection postopératoire, FF souhaite être opéré de la manière la moins invasive. Ses recherches l’amènent donc chez Exception MD pour la chirurgie endoscopique du doigt à gâchette qui n’est offerte nulle part ailleurs au Canada.
La chirurgie se déroule sans aucune douleur, sous anesthésie locale, alors que FF observe le déroulement de la procédure sur un écran vidéo. La convalescence fut de quelques jours.
DV is a specialist in manicure and pedicure.
AF souffrait d’une tendinite au coude depuis des mois. Malgré la physiothérapie, la douleur persistait et AF était convaincue qu’une chirurgie serait requise. Le Dr Brutus lui a expliqué que cela valait la peine d’essayer le PRP avant de passer à la chirurgie.
EW travaille dans le domaine dentaire. Comme professionnelle de la santé dentaire, elle est prédisposée aux compressions nerveuses au poignet et au bras (Syndrome du lacertus et du canal carpien). Elle a donc été opérée et était ravie de retourner travailler deux semaines après sa chirurgie.
Dans les semaines qui ont suivi sont apparues des douleurs de type décharge électrique au contact avec ses deux petites cicatrices. Des sensations douloureuses peuvent apparaître au niveau des cicatrices lors de la guérison. Elles portent le nom de dysesthésies. Des traitements au laser Multi Lock System ont été pratiqués.
Vos mains sont uniques et précieuses. Lorsque le besoin de chirurgie se fait sentir, choisissez un service de qualité et une approche sur mesure. Le Dr Brutus détient des cotes élevées sur des plateformes indépendantes. Ses patients le recommandent constamment pour son approche exceptionnelle, son équipe dévouée et la qualité élevée des soins prodigués.
Comment soulager les symptômes du syndrome du canal carpien ? Comment reconnaître le doigt à gâchette ? Que devez-vous apporter le jour de votre opération ?
Le Dr. Brutus propose une série de publications sur une variété de sujets liés à la santé. santé. Rédigées dans un langage clair et simple, en collaboration avec des experts dans différents domaines et un aperçu gratuit est téléchargeable sur le site web.
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